Il semblerait que le cancer des poumons soit la solution la plus efficace pour arrêter le tabac. Jean-Claude, ancien fumeur et mort à l'âge de 51 ans a expérimenté cette nouvelle technique, un peu sans le savoir. Nous avons rencontré sa veuve.
C'est depuis sa chaleureuse maisonnette, en Haute-Savoie que Martine Dunoux a décidé de répondre à nos questions à propos de cette méthode révolutionnaire.
Journaliste : Pouvez-vous nous raconter les circonstances du décès de votre mari?
Jean-Claude fumait des cigarettes roulées en quantité énorme depuis sa jeunesse. Il toussait beaucoup vers la fin. Notre médecin généraliste a détecté très rapidement un cancer des poumons à un stade très avancé. Deux mois après, Jean-Claude nous a quitté. Cela a été très rapide.
J : Votre mari connaissait-il les dangers du tabac?
Il savait que le tabac était mauvais pour la santé. Mais il disait toujours qu'il fallait bien mourir de quelque chose. Nos enfants auraient préféré qu'il meurt plus tard de manière plus naturelle. Jean-Claude avait la croyance que le tabac lui permettait d'être un vrai homme.
J : Sa croyance lui a permis d'arrêter le tabac plus tôt...
En effet, grâce à cette croyance, il a continué de fumer et a favorisé la montée du cancer. Sa mort est donc arrivée et c'est vrai que depuis il n'a pas repris une seule cigarette. Je suis fière de lui.
J : Cette méthode est toute récente. Pouvez-vous dire en quoi elle consiste?
C'est une méthode assez facile à intégrer puisqu'elle repose principalement sur le fait qu'une fois mort, le fumeur ne peut pas bouger son corps. Ses mains sont incapables de porter une cigarette à la bouche. Et la bouche n'a pas la possibilité d'aspirer la fumée, ce qui fait que la cigarette ne se consume pas du tout. La nicotine n'étant pas absorbée, la dépendance n'a pas lieu et le phénomène de manque n'existe plus.
J : Pour nos lecteurs, pouvez-vous nous dire comment peut-on mettre en place cette méthode?
Elle n'a pas encore été brevetée mais je peux vous confier que pour le moment, toutes les personnes qui ont testé ont simplement acheté des cigarettes en bureau de tabac et les ont fumées. Ces personnes ont exécuté ce processus tous les jours. C'est ce que faisait Jean-Claude, en tout cas. Pour anticiper les résultats de cette technique, il est conseillé de consulter un médecin ou cancérologue une fois par an.
J : Pour les personnes qui ne sont pas motivées à aller jusqu'au bout, que conseillez-vous?
Jean-Claude avait une motivation hors-norme. Il disait que comme il était fumeur, il allait forcément mourir d'un cancer des poumons. Il avait une croyance profonde à ce sujet. Si vous n'y croyez pas, arrêtez de fumer ou faites autre chose.
J : Merci, Martine. Un dernier conseil pour nos lecteurs?
Si vous voulez arrêter de fumer grâce à la méthode du cancer des poumons, visualisez-vous dans votre lit d'hôpital en phase terminale, avec vos proches à vos côtés. C'est un peu comme la Loi d'Attraction. Visualisez, demandez à l'Univers, et ça viendra un jour ou l'autre.
Interview par Karl Boro
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